La base 105 ravagée par Océane - Collège Henri Dunant

La base 105 ravagée par Océane

- Format PDF Enregistrer au format PDF

La base 105 ravagée

Un soir d’hiver, durant un dîner, à la porte une personne sonna. Ma fiancée Luna alla ouvrir la porte.
« Suis-je bien chez Max Petterson ? entendis-je
- Oui, que lui voulez-vous ?

- Je souhaite lui parler personnellement. » annonça-t-il d’un ton ferme.

Je me levai de table et vis un homme avec un uniforme de militaire sur le seuil de la porte. Nous allâmes dans la cuisine pour parler en privé.
Sans attendre ma réaction, il me dit d’un ton glacial :
« Monsieur Petterson, je suis désolé de vous annoncer que vous devez faire votre valise. Nous partons en guerre !

- Maintenant ? lui demandai-je, très surpris.
- Oui, une voiture vous attend devant la maison.
- Attendez-moi dans la voiture, je vous rejoins après. Je dois d’abord en parler à ma fiancée. »

Une fois que le capitaine quitta la maison, je partis en parler à Luna. Elle s’effondra par la nouvelle et monta sans un mot faire mes valises. Sur le seuil de la porte avant de partir, je lui promis de revenir sain et sauf.

Une heure plus tard, j’arrivai à la Base 105 qui était transformée en véritable champ de bataille. Je découvris des hommes blessés, des bâtiments détruits et des cadavres au sol. Moi qui étais soldat depuis l’âge de 18 ans, je n’avais jamais vu un spectacle aussi terrifiant.

Une semaine plus tard, rien n’avait évolué, la guerre continuait à ravager la base 105. On mourait tous de faim et de froid. On était forcé de ne pas abandonner le combat. Un jour, je me retrouvai face à face avec un ennemi qui braquait une arme sur moi. Puis je vis un ’’flash noir’’.

J’attrapai l’arme de l’ennemi, le frappai et le tuai. Puis tout à coup, un sirène se mit à hurler. Cela signifiait qu’on avait gagné la guerre. Nous avions réussi notre mission : protéger la base 105. Deux semaines plus tard, sur le quai de la gare, nous voyions nos femmes espérant que tout leur hommes soient revenus sains et saufs.

Je descendis du train et pris ma fiancés dans mes bras. Et je lui dis cette phrase :
« Tu vois mon amour, je t’avais promis de revenir, et me voici. »

Mais tout à coup je sentis une douleur épouvantable dans mon cœur. Je tenais ma poitrine aussi fort que je le pouvais.

Océane, 3e 4

P.-S.

Cliquez ici pour connaître la fin de l’histoire.

Vos commentaires

Répondre à cet article

modération a priori

Attention, votre message n’apparaîtra qu’après avoir été relu et approuvé.

Qui êtes-vous ?
Ajoutez votre commentaire ici

Ce champ accepte les raccourcis SPIP {{gras}} {italique} -*liste [texte->url] <quote> <code> et le code HTML <q> <del> <ins>. Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

Ajouter un document

Suivre les commentaires : RSS 2.0 | Atom

Police pour dyslexie ?
Interlignage double ?