"Bonjour, je suis Baïdinos, je suis un athlète de la cité d’Athènes.
Cela fait 4 ans que j’attends de participer aux Jeux olympiques se déroulant à Olympie. J’espère remporter 3 épreuves pour avoir ma statue à côté du temple de Zeus. Quel honneur ce serait !
Je viens de remporter l’épreuve de lutte à la Palestre ainsi que celle de saut en longueur au gymnase. Il ne me reste qu’une seule épreuve demain au stade : la course à pieds contre des Olympiens, des Troyens et des Spartiates très forts.
Je prie Zeus de m’aider à remporter une troisième épreuve car, en tant qu’athlète, je me dois de remporter 3 victoires pour avoir ma statue auprès du temple de Zeus.
C’est le grand jour, le public m’ovationne : "Baïdinos ! Baïdinos !". La course commence ; je cours, je cours, je cours toujours, je veux gagner, je veux ma statue, je veux montrer ma force et ma bravoure.
Je gagne ! Épuisé mais heureux ! Aux épreuves suivantes, je suis arrivé second mais ce n’est pas grave, j’ai gagné ma statue !".
"Je suis dans un grand stade et j’aperçois une statue. Incroyable !, cette statue est tout simplement magnifique ! Et ce stade ! Cette foule de spectateurs !
Et le départ est donné : 3..., 2..., 1.... c’est parti ! J’ai un peu peur mais, au fur et à mesure, je m’habitue. J’ai fait 2 tours, il ne m’en reste plus qu’un mais mes adversaires sont rodés et puissants ... ce n’est pas le moment de se laisser distraire, j’y suis presque ! Oh ! Non ! ils me rattrapent mais je gagne tout de même. J’ai parcouru 3 fois 192 mètres.
Ma récompense : faire une statue de moi près du temple de Zeus et j’ai eu une couronne d’olivier sauvage."
"Nous sommes au VIIIe siècle avant J.-C.. Je m’appelle Ulysse et je participe à une course pour Athènes.
Il y a, à peu près, 45 000 spectateurs dans l’arène. Mes adversaires sont Télémaque, Achille, Hector, Ménéla, Pâris et Priam. Ils sont très forts et compétiteurs mais je ne me laisserai pas battre pour autant, je ne me découragerai pas.
Nous devons nous échauffer, je suis stressé mais je ne le montre pas.
Quelques minutes plus tard, nous devons nous placer sur la ligne de départ. Nous nous regardons entre athlètes avec un regard hargneux et gagnant.
Le départ nous est donné, ça y est ! Nous courons le plus vite possible, je cours de toutes mes forces mais Hector me dépasse, il est plus grand et plus fort que nous autres, je me dis que là, je ne gagnerai pas. Je vois la ligne d’arrivée qui approche et en entendant le public crier mon nom, je me dis "Je dois gagner pour ne pas décevoir ces gens qui m’acclament". Alors je prends sur moi, je rattrape Hector, je cours jusqu’à l’épuisement et enfin je passe cette ligne.
J’ai gagné et je reçois une couronne d’olivier sauvage. C’est le plus beau jour de ma vie. Je n’oublierai jamais ce jour merveilleux."
Vos commentaires
# Le 6 janvier 2011 à 08:27 En réponse à : Les 6e 2 durant les Jeux olympiques...
madame c’est les 6e 3
# Le 6 janvier 2011 à 12:01, par Soheil et fernandez En réponse à : Les 6e 2 durant les Jeux olympiques...
Cette histoire est bien écrite car il y a beaucoup de vocabulaires . J’aime cette histoire car elle représente les jeux olympiques.
# Le 10 janvier 2011 à 16:13, par Quentin, 6e 2 En réponse à : Les 6e 2 et les 6e 3 durant les Jeux olympiques...
Bravissimo les 6e 3.
# Le 10 janvier 2011 à 21:04, par le dieu des dieux En réponse à : Les 6e 2 durant les Jeux olympiques...
bravo les 6e
# Le 12 janvier 2011 à 23:09, par lea En réponse à : Les 6e 2 et les 6e 3 durant les Jeux olympiques...
Super vos textes ! On se croirait dedans !
# Le 12 janvier 2011 à 23:14, par V. Bompart-Patchine En réponse à : Les 6e 2 et les 6e 3 durant les Jeux olympiques...
Tu as tout à fait raison, Léa :)
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