Rencontre avec des Résistants de la Seconde Guerre mondiale - Collège Henri Dunant

Rencontre avec des Résistants de la Seconde Guerre mondiale

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Le mardi 11 décembre 2012, nous avons rencontré des anciens Résistants de la Seconde Guerre mondiale. Il s’agit de M. et Mme Leprévost, âgés de 92 et 91 ans, ainsi que M. Biaux, ancien déporté, âgé de 87 ans. Ils nous ont parlé de ce qu’ils ont vécu pendant l’Occupation allemande dans l’Eure nous expliquant qu’ils avaient plusieurs fois échappé à la mort. Tous les trois faisaient partie du Réseau de Résistance appelé VENGEANCE.

M. Biaux entra dans la Résistance à l’âge de 17 ans. Son rôle était d’accompagner jusqu’à Paris les pilotes britanniques, polonais ou américains (on dit maintenant "états-uniens") qui avaient été parachutés en Normandie. Il a été dénoncé par un villageois et a donc été arrêté, emprisonné à Val de Reuil puis déporté en camp de concentration en Allemagne, où il est resté 11 mois.

M. et Mme Leprévost qui sont mariés depuis bientôt 70 ans ( tout le monde a applaudi) nous ont raconté leurs rôles au sein de la Résistance dans l’Eure. Ils ont participé activement à la Résistance en portant des messages, en transportant des armes ou des poste radio et surtout, pour M. Leprévost en transmettant aux Britanniques des informations qu’ils obtenaient sur l’armée allemande installée à la Base 105 d’Évreux.

Ils sont aujourd’hui les rares survivants de cette époque, et M. Biaux est le seul survivant dans le département à avoir été déporté en camp de concentration.

Mme et M. Leprévot et M. Biaux

Cette rencontre qui a duré deux heures a été riche en questions, en témoignages et en émotions.

Voici quelques impressions des élèves.

I- La vie pendant l’Occupation allemande

« J’ai été marquée quand Mme Leprévost nous a dit que, pendant la guerre, elle mettait des semelles en bois comme chaussures. Mme Leprévot nous a expliqué aussi que ce n’était pas du tout confortable, qu’il y avait plein de boue et qu’elle avait très froid aux pieds. »

Manon, 3éme 3

« J’ai été marquée par le fait que les habitants d’Évreux devaient allaient chercher des tickets de rationnement pour la nourriture, pour les vêtements et les chaussures avec des semelles en bois. Les Français faisaient la queue pendant des heures pour avoir un morceau de pain pour toute la famille qui devait leur durer la semaine entière. Du beurre ou de la confiture était un luxe très très rare. Quand les Allemands arrivaient dans les magasins, ils passaient devant tout le monde, prenaient ce qu’ils voulaient sans payer. »

Mélanie, 3e 3

« J’ai été marquée quand Mme Leprévost nous a raconté que ses parents et la plupart des Français devaient aller à la mairie pour obtenir des tickets de rationnement pour pourvoir manger parce que pendant que les Allemands se servaient dans les magasins, les Français, eux, mouraient de faim. C’est cette haine envers les soldats allemands qui a poussé Mme Leprévost à résister. »

Brandy, 3e 4

« J’ai été marquée quand Mme Leprévost nous a raconté la famine qu’ont subie les Ébroïciens. Tous les mois, à la mairie, ils allaient chercher des tickets pour avoir à manger, des vêtements etc... Ils devaient faire la queue devant les magasins durant des heures tout en voyant les Allemands passer devant tout le monde et tout prendre sans payer. Ils ne leur restaient que de la mauvaise qualité. Les mères de famille n’arrivaient plus à nourrir leurs enfants ni à les habiller chaudement. Les habitants avaient la haine contre les soldats allemands qui vivaient paisiblement alors que les Ébroïciens survivaient. »

Fanny, 3e 3.

II- La Résistance

« M. BIAUX avait pour mission de rapatrier à Paris les pilotes alliés parachutés en Normandie. Un jour, il en a accompagné un jusqu’à la gare Saint Lazare. C’était un aviateur « états-unien » qui ne parlait pas français. Pour le faire passer un barrage allemand, il lui a fait prendre un enfant dans ses bras. Le soldat allemand a cru qu’il faisait partie d’une famille, et l’a laissé passer. Cela m’a plu car j’ai trouvé ça surprenant de se faire avoir aussi facilement. »

Mohamed, 3e 3

« J’ai été marqué quand Mme Leprévost nous a raconté qu’elle était allongée par terre avec la croix de Lorraine dans sa veste (pendant toute la guerre), l’émetteur radio et l’allemand nazi a coté pendant le bombardement d’Évreux car il faut beaucoup de chance pour ne pas se faire prendre. »

Erwan,3°4
Des témoins de cette période sombre de l’Histoire

« M. Leprévost avait pour mission de rassembler des renseignements sur l’aviation allemande et ensuite les transmette à Londres. Il a fait son S.T.O ( Services du Travail Obligatoire) à la base aérienne d’Évreux. Il travaillait pour les Allemands qui eux ne savaient pas que M. Leprévost prenait des photos et donnait tous les renseignements obtenus au chef des résistants du réseau « Vengeance ». Grâce à lui, les résistants ont pu les envoyer à Londres pour mieux combattre l’ennemi et organiser la Libération. »

Nawalle, 3e 3

« J’ai été stupéfait quand j’ai appris que le groupe de M. Biaux a caché les cinquante radios dans le grenier de l’école et quand les soldats allemands sont venus pour les récupérer, ils ne les ont jamais trouvés. »

Nabil, 3e 4

« J’ai été marquée par cette femme française qui avait inscrit les noms des résistants qu’elle connaissait sur la porte d’une armoire. Un villageois qui ne voulait que du pain et du beurre lui a demandé ce qu’elle aller en faire. Elle lui a répondu qu’elle allait les dénoncer à la Gestapo pour qu’ils soient arrêtés. Cette femme était une dangereuse collaboratrice, elle a été tuée par les Résistants »

Emma, 3e 4
« J’ai été touchée quand M. Leprévot a chanté avec nous Le Chant des partisans, jusqu’au bout, à son âge, nous sentions qu’il était sérieux et qu’il a encore cette âme de combattant. » Habiba, 3e 3

« J’ai été marquée par l’anecdote que M. Biaux qui avait fait tomber sont chargeur de balle pour sa mitraillette qui était caché sous son manteau. Et cela m’a beaucoup touchée. Il l’a fait tomber devant un Allemand, qui se tenait devant lui, à quelques mètres et ne l’a pas vu. C’ est ce que l’on appelle "avoir eu beaucoup de chance". Moi j’aurais été à sa place, j’aurais eu extrêmement peur. Il aurait pu être fouillé par cet Allemand et finir sa vie dans un camp de concentration. »

Emma, 3e 4.

« Merci à ces Résistants qui nous ont expliqué leur vie pendant l’Occupation. Madame Leprévost m’a beaucoup ému car elle nous a raconté qu’elle avait un poste radio caché sur elle, elle était sur un vélo. L’alerte au bombardement a sonné, tout le monde devait se coucher puis un Allemand lui a fait signe de se mettre à terre près de lui. Ce qu’elle a fait, sans que le soldat allemand ne la voie avec l’objet interdit. »

Valentin, 3e 2

III- La vie en camp de concentration

« Ce qui m’a marquée c’est quand M. Biaux nous a raconté au camp de concentration, qu’il devait se lever à 5h du matin torse nu pour l’appel, que le matin il ne buvait juste de l’eau coloré, le midi et le soir il mangeait de la soupe très liquide avec un petit bout de pain, et comme il ne mangeait pas beaucoup, il ne pesait que 36 kilos à sa libération. »

Daonie, 3e 4

« J’ai été marqué par M. Biaux, parce qu’il a fait une chose qui m’a choqué : il a mangé de la viande crue car on lui a proposée, mais il ne savait pas que c’était le chien d’un nazi. Ils avaient tellement faim que toute viande était bonne à manger. »

Mamadou, 3e 4

« J’ai été marqué quand M. BIAUX nous a raconté qu’il avait des poux de corps durant les jours où il était dans des blocs en Allemagne. Tous les prisonniers avaient des poux, donc les SS les mirent nus dans le froid, à -15°C pour tuer ses parasites. Les affaires étaient étalées par terre ils devaient les prendre au hasard et déjà utilisées. Cette scène m’a marqué car elle est horrible : ils étaient nus à -15°C. »

Romain, 3e 3

« J’ai été marqué par l’histoire de M. BIAUX car il ne pesait que 36 kg pour 1.80 mètre après la libération dans le camp de concentration libéré par les alliés. Ceux-ci étaient tous choqués parce que les prisonniers étaient extrêmement maigres, pas très beaux à voir...M. Biaux aurait pu mourir de famine et de déshydratation. Cette scène m’a marqué car M. BIAUX ne s’est pas découragé. »

WILFRIED, 3e 3

« J’ai été choquée par l’histoire de M. Biaux, car quand il a été déporté, son travail forcé consistait à creuser des trous puis à les reboucher. Il creusait, sans raison. Un jour, alors qu’il devait rebouchait un trou, il avait trouvé le crâne d’une femme. »

Habiba, 3e 3

IV - La Libération

« J’ai été marquée par la libération de M. et Mme Leprévot. Ils étaient alors dans une grotte où ils s’étaient réfugiés. M. Leprévot nous a dit que c’était un spectacle inoubliable à voir. Quand ils sont sortis, il y avait des chars États-uniens et Anglais, des officiers qui braquaient des mitrailleuses sur eux, avec un avion qui les guidait dans le ciel. Ce passage m’a choquée car moi-même je ne serais pas quoi faire devant ce spectacle. Je serais très contente d’être libérée mais en même temps j’aurais peur. »

T., 3e 4

« M. Biaux nous a raconté que les 7 000 prisonniers de son camp ont dû monter sur des bateaux allemands pour ne pas être récupérés par les Alliés. Il y avait trois gros navires. Son bateau a été bombardé et par le trou causé par un obus, il a pu voir le premier bateau exploser et couler avec des milliers de personnes, et le troisième bruler. Le commandant de bord Allemand du bateau sur lequel se trouvait M. Biaux, a fait dériver son navire sur la côte, pour l’empêcher de couler et sauver ainsi des prisonniers... ce qui a permis à 300 prisonniers de survivre et s’échapper, y compris lui. Cette anecdote m’a marquée car M. Biaux a vécu des choses horribles, il a vu des milliers de personnes mourir, et il a eu le courage de nous le raconter. »

Sabrina, 3e 3.

« Ce qui m’a marquée c’est quand M. Biaux était dans un bateau et y a vu des corps qui brûlaient à cause des obus et des centaines de corps morts sur la plage, ça dû être horrible parce que je ne peux pas supporter ça. »

Favour, 3e 4

« J’ai été touché par la fameuse libération de M. Biaux, parce qu’il nous a expliqué la chance et le courage qu’il a eus de pour pouvoir s’échapper grâce au capitaine Nazi. Ce capitaine s’est conduit droit à la mort pour sauver tous les déportés et leur rendre leur très chère liberté. M. Biaux a réussi à s’échapper du bateau qui coulait peu a peu dans la Mer du Nord glacée. Il a dû manger du cheval et même du chien cru pour sa survie. Il a eu toute cette force pour revoir un jour sa famille et plus particulièrement sa mère. Je trouve que cette rencontre a été très importante pour nous car nous avons pu discuter avec des personnes qui ont vécu cette guerre horrible. C’était très enrichissant pour notre classe ».

Guillaume, 3e 4

« J’ai été marquée lorsque M. BIAUX nous a raconté que lors de la libération du camp de Neuengamme les déportés étaient restés treize jours debout, entassés dans un bateau sans pouvoir ni manger ni boire. Seulement deux cents à trois cents personnes sur sept mille ont survécu. Ça m’a touchée car cet homme a eu beaucoup de chance de rester en vie. »

Louisa, 3e 4

V- Leur regard sur ce passé douloureux

« J’ai été choquée quand M. et Mme Leprévost nous ont dit qu’en 2013 ils fêteront leurs 70 ans de mariage. Parce que avec tout ce qu’ils ont vécu, ils sont restés ensemble et toujours soudés. Les soixante élèves ont spontanément applaudi. À leur place, moi je pense que j’aurai été jusque là. »

Antonella, 3ème4

« Ce qui m’a le plus marquée c’est quand M. Leprévot a dit que les Allemands qui ont vécu l’époque du nazisme étaient toujours des Hitlériens. Je pensais que les Allemands n’étaient plus Hitlériens après tant d’années et tant de victimes qu’a tuées Hitler. Mais si j’étais Allemande, je ne serais plus Hitlérienne, ni nazie après la guerre. »

I. 3e 4

« J’ai été touché par Mme Leprévost, quand elle a dit qu’elle pourrait laisser sa vie pour nous, la jeunesse d’aujourd’hui. Je trouve que c’est un grand geste de sa part , car elle a prouvé l’amour pour les jeunes ».

Clément, 3e 3

« Ça m’a fait rire, quand M. Leprévost nous a dit que le journal Paris Normandie avait annoncé sa mort, alors que c’était faux. Le journal s’est par la suite excusé et a démenti l’information. »

« Je trouve qu’ils ont été très courageux en résistant : ils risquaient leur vie tous les jours. Mme Leprévost m’a touché en disant qu’elle serait prête a résister de nouveau pour que nous ayons pas à vivre ce qu’elle à vécu dans sa jeunesse. »

Kadour 3e 4

« J’ai été marqué pas Mme Leprévost parce qu’elle a dit elle pourrait encore mourir pour nous sauver. »

Fafaby, 3e 4

« Ce qui m’a surpris c’est au moment où M. Leprévost à répondu qu’il n’avait ni des séquelles psychiques ni physiques parce que j’ai ressenti qu’il n’a pas voulu en parler. »

Laetitia, 3e 4

VI - Le devoir de mémoire

« Le mardi 11 décembre 2012, nous avons eu la chance de rencontrer des Résistants et un Déporté dans le cadre de notre programme d’Histoire et de Français sur la Seconde guerre mondiale. J’ai été émue par Monsieur Leprévost, sa femme Simone et Monsieur Biaux. Madame Leprévost nous a raconté les souvenirs qu’elle se remémore toujours après tant d’années. Ils nous ont conté leurs anecdotes avec tellement de passion que j’arrivais à imaginer les scènes vécues. Monsieur Leprévost nous a chanté Le Chant des partisans. Nous avons senti son émotion. J’en avais les larmes aux yeux. Merci à tous ceux qui ont contribué à cette rencontre exceptionnelle, je les remercie profondément. »

Falowne, 3e 2.

« C’était passionnant de rencontrer de vrais Résistants qui ont vécu une époque très mouvementée due à la guerre entre l’Allemagne et la France. Ils se souviennent parfaitement de ce qui s’est passé dans leur vie durant cette période de guerre.À la fin M. Leprévost a chanté avec quelques élèves le Chant des partisans : c’était très émouvant ».

Julien, 3e 2
LE CHANT DES PARTISANS : EMOUVANT !

« J’ai été marquée quand M. Leprévot a chanté le Chant des partisans car nous avions l’impression qu’il éprouvait encore énormément de souffrance. Quand il chantait, on comprenait qu’il a résisté, qu’il a subi des choses affreuses, qu’il a éprouvé le sentiment de peur. »

Betül, 3e 3 .

« Je pense qu’ils ont beaucoup de courage de nous raconter tous les moments qu’ils ont vécus. Le moment qui m’a émue le plus c’est quand Mme Leprévost a dit qu’elle s’était retrouvée couchée à côté de son vélo, avec une radio cachée sur le porte-bagage. Elle a été arrêtée par un soldat allemand pour vérifier ses papiers. Il n’a rien vu et l’a laissée repartir . Je ne les remercierai jamais assez pour les heures qu’ils nous ont accordées, pour la France et je n’oublierai jamais ce moment qui est gravé à jamais dans ma mémoire ».

Julie, 3e 2
Bombardement de juin 1940 à Evreux

« Je pense que c’est une grande chance pour nous d’avoir rencontré des personnes au vécu atroce. Le fait d’avoir vu Évreux bombardée sur les photos de M. Leprévost m’a beaucoup choqué car jusqu’à ce moment-là, je ne savais pas que notre ville avait été bombardée. Aujourd’hui nous devons nous souvenir et ne rien oublier. Merci beaucoup à Mme Leprévost, M. Leprévost et à M. Biaux. »

Vezir, 3e 2
Tous élèves ont remercié les trois Résistants d’être venus

« Les histoires de M. et Mme Leprévost et de M. Biaux m’ont beaucoup touché. C’est bien qu’ils nous transmettent leur vécu pour que nous puissions transmettre à notre tour aux générations futures afin qu’elles n’ oublient pas cette guerre atroce. »

Harold, 3e 2

« Nous avons beaucoup de chance que des personnes qui ont vécu l’horreur de cette époque soient encore vivantes pour nous dire la vérité. Si aujourd’hui la France est un pays libre, c’est en quelque sorte grâce à leurs sacrifices et à leur courage. Je remercie ces combattants extra-ordinaires de nous avoir laissé un pays libre. »

Hilal, 3e 2

« Nous avons rencontré des Résistants qui nous ont expliqué leur terrible histoire. J’ai bien aimé car ils nous ont tout raconté, même les plus petits détails. J’ai été marquée par leur mémoire car ils n’ont rien oublié alors moi aussi je n’oublierai rien. Je remercie les Résistants pour leur témoignage et leur courage d’être retournés dans leur terrible passé pour nous raconter cette histoire émouvante. »

Laura, 3e 2

« La rencontre avec ces résistants m’a ouvert les yeux sur la Seconde Guerre mondiale. Je ne savais pas que c’était aussi terrible, ils m’ont totalement ému. Ils ont une mémoire phénoménale. Merci à ces Résistants de nous avoir transmis leur expérience. »

Steven, 3e 2

« Cette rencontre nous a apporté beaucoup de connaissances sur cette effroyable guerre. Tous ces courageux résistants ont réussi à libérer la France. Finalement, c’est pour nous qu’ils ont sacrifié une partie de leur vie. Je les remercie pour tout ce qu’ils ont accompli. En temps qu’élève, leur récit m’a permis de comprendre ce qu’était la Résistance et l’Occupation. Je suis bien contente d’avoir passé ce moment en leur compagnie. »

Susie, 3e 2

« Nous avons rencontré des déportés et des résistants le mardi 11 décembre pendant les cours de français. Mme Leprévost, M. Leprévost et M. Biaux sont incroyables car ils n’ont rien oublié de cette période. Pendant la Guerre, M. Biaux et ses amis ont caché des postes radios dans le grenier de la mairie car ils étaient réquisitionnés par les SS. Je n’oublierais jamais ces combattants, et je les remercie de nous avoir raconté leur histoire. »

Angélique 3e 2

« Je trouve que nous avons eu beaucoup de chance de rencontrer un rescapé des camps de concentration et des Résistants. Grâce à Monsieur, Madame Leprévost et Monsieur Biaux, j’ai appris beaucoup sur la Seconde Guerre mondiale. J’ai vraiment aimé cette rencontre car je comprends mieux les événements. Je remercie Mme Djafar et Mme Aït-Aïssa d’avoir organisé cette rencontre enrichissante. »

Esma, 3e 2
A la fin, remerciements spontanés

« Je suis heureuse d’avoir rencontré des Résistants car grâce à eux nous nous rendons compte de l’atrocité de la Seconde Guerre mondiale. En chantant le Chant des partisans, ils nous ont vraiment beaucoup émus car nous sentions leurs émotions très fortes malgré les années. Je voulais les remercier pour toutes les choses qu’ils ont accomplies et tous les sacrifices. Malgré les dangers, ils ont résisté. »

Ludivinne, 3e 2

« Nous avons passé un moment exceptionnel. Nous sommes allés de surprises en surprises. Je trouve que le courage de ces résistants est incroyable. Ils parlaient de leur vécu comme si c’était hier, c’était fantastique. Je tiens à remercier Mme Djafar (Professeur de Français) et Mme Aït-Aïssa (Professeur de Français) de nous avoir conviés à cette magnifique rencontre. C’était un moment inoubliable. »

Mohamed, 3e 2

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